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N’ayez jamais peur d’emprunter une nouvelle voie

Pour Elliston Vallarino Reyes, doctorant en microbiologie, il y a des occasions à saisir même lorsque les choses ne se passent pas comme prévu

Les étudiants aux cycles supérieurs de l’Université 9IÖÆ×÷³§Ãâ·Ñ viennent du monde entier. Doctorant en microbiologie originaire du Mexique, Elliston a commencé son parcours universitaire à Montréal par un stage . As a research intern, Elliston completed a project at the Rosalind and Morris Goodman Cancer Institute. Comme stagiaire de recherche, il a réalisé un projet à l’Institut du cancer Rosalind-et-Morris-Goodman. Cette expérience l’a mené vers une maîtrise en Microbiologie orientée vers la recherche sur la bactérie Legionella pneumophila, dont il a accéléré la réalisation pour amorcer son doctorat.

Après s’être concentré sur la recherche sur le cancer pendant près de trois ans, Elliston a estimé qu’il était mûr pour un changement. « La recherche sur le cancer est importante, mais d’autres domaines m’intéressaient, dit-il. Sous la supervision du , j’étudie actuellement la bactérie Legionella pneumophila dans des systèmes de tours de refroidissement. Essentiellement, nous essayons de comprendre les interactions microbiologiques de cet agent pathogène nocif pour l’homme. Je fais du travail de terrain : j’étudie la bactérie, je la traque et je cherche des moyens d’atténuer ou de gérer ses effets. »

Comme beaucoup d’étudiantes et d’étudiants aux cycles supérieurs, Elliston a décidé de devenir auxiliaire d’enseignement. Le cours de biologie 101 (AEBI 120 : Biologie générale) l’a ramené aux sources. « C’était intéressant de voir tout le chemin que j’avais parcouru, se souvient-il en souriant. Mes étudiants en étaient à leur première session de leur première année au premier cycle. Je pouvais voir la différence entre ma situation actuelle et celle d’il y a cinq ans. J’ai beaucoup aimé répondre à leurs questions et contribuer à leur apprentissage. Apprendre, ça me rend heureux.»

La recherche et l’enseignement, c’est bien, mais les études supérieures ne sont pas un long fleuve tranquille. « C’est difficile, et on n’est pas à l’abri des déceptions, raconte Elliston. Mais c’est vraiment une expérience très enrichissante..» Néanmoins, la réalité des études supérieures ne l’a pas découragé. L’expérience, bonne ou mauvaise, ouvre différentes avenues. « Si vous aimez ça, tant mieux. Si vous n’aimez pas ça, vous pourrez dire : "Je n’aime pas le milieu universitaire", "Je n’aime pas faire de la recherche sur tel sujet", "Je n’ai pas les compétences requises" ou "J’ai eu une mauvaise expérience et je ne veux pas la revivre". Mais n’ayez pas peur. Foncez. Vous n’avez rien à perdre. Vous obtiendrez un diplôme et vous serez plus qualifié qu’avant. »

Tout en réfléchissant à son parcours à l’Université 9IÖÆ×÷³§Ãâ·Ñ, il veut encourager ceux et celles qui souhaitent faire des études supérieures : « Vivez diverses expériences. Découvrez ce que vous n’aimez pas pour ensuite chercher ce que vous voulez vraiment faire dans la vie. Vous pouvez toujours en faire moins. Rien n’est coulé dans le ciment, n’est-ce pas? Vous pouvez chercher et trouver autre chose. Vous voulez essayer? Allez-y. Foncez. Si vous en avez l’occasion, pourquoi ne pas le faire?»

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